RETROUVEZ NOTRE TRIBUNE COLLECTIVE APPELANT À POSER DES LIMITES CLAIRES AUX COURS D'ÉDUCATION SEXUELLE À L'ÉCOLE.

La ministre de l'Éducation nationale devait valider ou amender ce programme en juin, nous lui demandons maintenant d'attendre qu'un nouveau gouvernement soit nommé à l'issue des élections législatives.
Extrait :
"S’il est souhaitable de vouloir lutter contre les violences sexuelles et sexistes, prendre le risque de sexualiser l’enfant dès l’école, c’est risquer de piétiner son identité, son rythme et ses besoins propres (...)
A 8, 9 ou 10 ans, est-il normal de se voir imposer la description d’une sodomie et d’une fellation par la voix d’un intervenant qui a répondu à des questions d’élèves ? (...)
Mais à bien y regarder, c’est la loi elle-même qui doit être modifiée. Les auteurs de l’article 22 de la loi du 4 juillet 2001 ayant introduit ces cours d’éducation à la sexualité, Jack Lang et Bernard Kouchner, les ont en effet rendus obligatoires dès l’école primaire, en (les) prévoyant, sans précision ni précaution.
Laissez-leur le temps d’être des enfants !"
Retrouvez ci-dessous notre tribune collective parue dans Le Journal du Dimanche.